Un train à hydrogène, une hélice de navire réalisée en fabrication additive et un train autonome à très grande vitesse… ce nouveau recueil de notes de veilles publiées par le Cetim met le monde des transports à l’honneur.
Auteur/autrice : Gregoire Huber
Technologie, hygiène et bien-être : la maison idéale à l’ère du Covid-19 – Le Monde
Faut-il transformer nos habitats maintenant que la pandémie a fait de nous de nouveaux sédentaires ? Comment penser un rapport au domicile bouleversé par la généralisation du télétravail et le confinement ? Esquisse pièce par pièce d’un nouvel art de vivre domestique.
L’équipe s’agrandit !
Grégoire a rejoint MetalSkin Technologies pour gérer plusieurs dossiers marketing et commerciaux avec, en point d’orgue, le lancement de notre nouveau produit MS-Sticker!Il y a énormément de travail à accomplir mais je mise sur son enthousiasme, sa curiosité et sa jeunesse évidemment pour s’investir à fond et générer du chiffre d’affaires, accroître notre visibilité et asseoir notre image dans les surfaces anti microbiennes.
Je lui souhaite donc la bienvenue (et bon courage)😉!!
#newposition #recrutements #marketing #developpement
#mssticker #metalskin
ASSAINIR L’AIR ET LES SURFACES : Les nouvelles technologies de la désinfection – L’Auvergnat de Paris
Dans la lutte sans merci que les CHR mènent contre la Covid-19, une porte de secours pourrait bien apparaître au travers de systèmes innovants, habituellement utilisés dans l’industrie ou les hôpitaux, permettant d’épurer l’air et d’assainir les surfaces.
La pépite : MetalSkin® a mis au point un revêtement contre les bactéries et les virus – BFM BUSINESS
Ce mercredi 18 novembre, dans la chronique La pépite, Lorraine Goumot reçoit Stéphane Penari, fondateur et président de MetalSkin Technologies SAS. Il est revenu sur la peinture bactéricide de Metalskin qui est à base de cuivre pour éradiquer les bactéries, les microbes, les germes ainsi que les virus.
« Connaissez vous les solutions MetalSkin® […] ? » – Capgeris
Connaissez vous les solutions MetalSkin®, un revêtement des points de contact qui divise par 3000 le nombre de bactéries en 1h selon la norme NF S90-700 ?
MetalSkin® prouve son efficacité pour protéger le personnel soignant (poignées portes, robinetterie, interrupteurs …).
En Seine-et-Marne est installé Santépole, l’association de la clinique Saint Jean l’Ermitage et de l’hôpital de Melun. Inauguré en 2018, le Santépole est un projet sanitaire majeur pour améliorer l’offre de soin du département et repose sur la complémentarité des offres du secteur public et privé sur un même site.
Des métaux contre le Covid-19 – L’USINE NOUVELLE
La pandémie de Covid-19 ravive l’intérêt pour les propriétés bactéricides et virucides de certains métaux, comme le cuivre, le zinc et l’argent.
« MetalSkin® […] devient le premier revêtement virucide permanent » – La Gazette du Laboratoire
Cuivre, argent, UV… tous ces moyens de lutte contre le virus – ZEPROS
[Zepros Bâti] L’heure est à la contre-attaque. Les industriels français se concentrent depuis plusieurs mois pour lutter contre l’omniprésent coronavirus et plusieurs semblent avoir trouvé des solutions pour freiner sa dissémination dans les bâtiments. Textile aux ions d’argent, peinture à l’alliage de cuivre, vitrage chauffant, diodes ultraviolettes, l’imagination des scientifiques est sans limite.
Faire feu de tout bois pour combattre l’infame SARS-CoV-2, telle semble être la stratégie des industriels depuis quelques mois. Chaque département de R&D du secteur de la construction s’est penché sur la question de la lutte contre la dissémination virale dans les bâtiments et a tenté d’y apporter une réponse. Car l’ennemi, invisible, peut se cacher partout, sur une poignée de porte, un interrupteur, un bouton d’ascenseur, un abattant de WC ou un coin de mobilier.
« J’ai passé 10 ans à expliquer que les surfaces constituaient un danger potentiel » – Widoobiz
Une peinture anti-bactérienne, concrètement comment ça marche ?
MetalSkin® est une peinture composite chargée en cuivre qui permet de revêtir des surfaces complexes et de matériaux différents (métaux, plastiques, etc…). Une fois activée, la surface de cette peinture possède les mêmes propriétés biocides que le cuivre et élimine donc les micro organismes qui se trouvent sur elle.
Quand avez-vous eu l’idée de développer ce type de produit ?
Nous avons réalisé un abattant de WC en cuivre pur pour une étude clinique et cela m’a rappelé que mon grand père, sur le faîtage de sa petite grange dans le Tarn, tendait un câble électrique dénudé pour empêcher, via le ruissellement des eaux de pluie, les mousses de se développer sur la toiture. Mon grand père connaissait donc les vertus du cuivre et son action sur les surfaces.J’ai rebondi sur cette idée et j’ai poussé le raisonnement plus loin en intégrant des notions de coût et d’esthétique… ce qui a débouché sur une étude in situ d’envergure et, par suite, le dépôt des brevets. C’était en 2013.
Avez-vous déjà beaucoup de demandes d’information ?
Énormément ! Après avoir passé près de 10 ans à expliquer à qui voulait l’entendre que les surfaces constituaient un danger potentiel car on ne peut savoir si elles sont correctement désinfectées, ni si les mains qui les touchent sont correctement nettoyées. Aujourd’hui, à cause du Covid-19, tout le monde en a conscience et l’on réalise que nous sommes entourés de zones à risque : sur notre lieu de travail, dans les transports en commun, dans les lieux publics et, évidemment, dans les établissements de santé. Alors, depuis deux mois, ce sont tous les acteurs de ces secteurs qui cherchent à se protéger et à protéger les occupants des lieux concernés. De plus, si on veut une grande efficacité à un coût modéré… je dois dire que l’on en vient assurément à nous demander d’étudier la question.
Ce type de peinture deviendra-t-il la nouvelle norme ?
Ma vision depuis le début est que l’on se demandera dans le futur comment nous avons fait pour évoluer dans des environnements non sécurisés au niveau des surfaces… de la même façon qu’une voiture sans ABS nous paraîtrait aujourd’hui tout à fait obsolète. De surcroît, l’AFNOR a créé une norme, la NF S90-700, qui caractérise l’efficacité bactéricide des surfaces (bientôt étendue à l’activité virucide et fongicide). Cette norme, cela me paraît tout à fait indispensable et cohérent, doit être imposée dans les lieux publics par l’État. Donc, indirectement, MetalSkin®, comme peinture bactéricide, sera une forme de standard incontestablement.